• Nationalité: Hong Konk (Chine)
• Date de naissance: 20 Avril 1843
• Âge: 168 ans (25 physiquement)
• Statut Matrimoniale: célibataire
• Groupe: vampires
• Emploi/Études: Ne travail pas, mais très fortuné

Li Y. (dire y comme why)
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Où avez vous découvert le forum? google
Qu'en pensez-vous? assez sympa
& le code:Elena est ok !

Li a le teint de peau basané, car il est asiatique. Il a les yeux noirs et ses cheveux sont bruns foncé. Il est de taille moyenne et mesure environ cinq pieds onze pouces. Il n'a pas de tatouage, mais a les oreilles percées, cependant, il ne met que très rarement des boucles d'oreilles. Il possède aussi un grand charme naturel qui est amplifié, car il est un vampire.

Li porte toujours au poignet le bracelet de son père, car maintenant celui-ci lui permet de résister à la lumière du jour. Il est fait d'argent tibétain et est serti de trois lapis lazulis. (Comme une image vaut 1000 mots : http://www.designandasia.com/product_thumb.php?img=images/product/bracelet--tibetain_2808_1.JPG&w=400&h=266&c=90)

Pour son style vestimentaire Li n'est pas très difficile, il porte ce qui lui fait bien en autant que ce soit la marque d'un grand designer. Ces marques préférées sont: Gucci, Louis vuitton et Hugo Boss.

▪ Intelligent
▪ Déterminé
▪ Calme
▪ Mystérieux
▪ n'accepte pas la défaite
▪ Ne sais pas résister à la luxure

Pour commencer, je suis né à Hong Kong, il y a bien longtemps. À l'époque, Hong Kong était un territoire britannique. Ma mère est morte lors de la naissance, mon père, quant à lui, était traducteur pour un haut fonctionnaire anglais. Mon père et moi vivions dans le quartier anglais, j'avais même la chance d'aller à l'école. Beaucoup d'européen et d'américain étais venu s'installer ici après la première guerre de l'opium, ce qui avait apporté la nécessité de construire une école. Mon éducation fût complètement anglaise, ce qui convenait parfaitement à mon père qui voulait que je fasse le même métier que lui. L'année de mes 13 ans, la seconde guerre de l'opium éclata à Hong Kong. Le haut fonctionnaire pour lequel mon père travaillait fût rappelé en Angleterre. L'homme devait avoir la cinquantaine, d'ailleurs il avait toujours eu l'air d'avoir cet âge même si cette pensée ne m'avais pas traversé l'esprit à l'époque. Quoi qu'il en soit, je ne sais pas pourquoi, peut-être étais-ce, car il n'avais plus de famille ou bien, car il s'était attaché à nous, mais il proposa à mon père de nous apporter avec et de s'occuper de nous en Angleterre. Mon père accepta, car il y voyait une grande chance pour moi.

En Angleterre je poursuivis mon éducation jusqu'à mes 20 ans où je terminai mes études supérieure en économie. Henry le «patron» (il était rendu un ami) à mon père avait financé mes études et m'avais trouvé un emploi dans une banque. Les quatre années qui suivirent furent les plus heureuses de toute ma vie, je m'épanouissait pleinement. Puis, tout bascula quand mon père tomba malade. Aucun médecin ne pouvais dire ce qu'il avait, rien ne le soulageait. Après un an de combat contre la maladie il mourut. Le jour de sa mort il n'y avait qu'Henry et moi auprès de lui. La réaction d'henry fût des plus surprenantes, il entra dans une colère noire et alla s'enfermer dans sa chambre. Cette nuit là, quelque chose vint troubler mon sommeil. Je fus réveillé par un avant bras accoter contre ma bouche, je sentais un liquide chaud me couler le long de la gorge, puis, un trou noir.

Quelques heures plus tard, je me suis réveillé. Henry était assis devant moi, il me fixait avec un regard rempli de tristesses. À ce moment, mes pensées étaient confuses, peut être que ce qui avait troublé mon sommeil n'était qu'un cauchemar. Je demandai à Henry ce qu'il se passait. Il me dit qu'il m'avait tué. Ce fut un choc, comment pouvais-je être encore vivant même après la mort? Il me raconta qu'il était un vampire et m'expliqua tout ce que je devais savoir sur les vampires. Il m'expliqua aussi pourquoi il m'avait fait ça. Il n'avais plus de famille et la mort de mon père avait été très douloureuse pour lui, il m'expliqua qu'il ne pouvait accepter que la seule personne à qui il tenait encore (moi) finisse par mourir. Cependant, quand il finit de tout me dire ce que je devais savoir, il n'a pas eu d'autre choix que de m'avouer que la décision finale me revenais. Je devais boire le sang d'un humain ou j'allais mourir. Il sortie ensuite et me laissa seul. À ce moment, je suis tombé d'en état dépressif, je revoyais ma vie d'humain et regrettais certains choix. Je ne comprenais pas pourquoi le fait qu'Henry ne vieillissait pas ne m'avais pas sauté aux yeux avant. Après plusieurs heures de réflexion j'ai pris le choix moi-même de ne pas mourir. Je ne voulais pas faire souffrir personne, donc je me rendis à l'hôpital pour boire une petite quantité du sang d'un blessé. Je ne savais pas ce qui m'attendait. Dans l'hôpital le sang m'attirait plus que tout, j'étais comme hypnotisé par cette envie incessante qui ne faisait qu'augmenté. Je trouvai finalement la personne idéal, s'était un homme qui venait d'être blessé dans une bagarre. Je m'approchai de lui et fit glisser mes doigts le long de la plaie. Le touché de ce liquide fit naître en moi une envie irrésistible d'y goûter. Je portai mes doigts à ma bouche. À cet instant, tout changea je perdis la maîtrise de moi-même, le sang était devenu trop attirant. Je ne pus résister à l'envie je mordis l'homme et but son sang jusqu'à la dernière goûte. Ce n'étais pas assez, mais je devais combattre cette envie. Je sortis de l'hôpital en pleur, toutes les émotions se bousculaient dans ma tête, j'étais triste d'avoir tué un homme, mais ce n'étais qu'un faible sentiment comparé au plaisir que m'avais procuré le goût du sang. Je décidai, donc, de faire ce qu'Henry m'avais conseillé de ne pas faire: je fis taire mes sentiments. Ensuite, je partis de l'Angleterre sans même retourner voir Henry.

Les 10 années qui suivirent furent merveilleuse. Je traversai l'Europe en goûtant à ce qu'elle avait de meilleur à offrir. Je me découvris aussi, mon attirance n'allait pas seulement vers les femmes, goûter à un homme était tout aussi plaisant et sur tous les points. J'acceptai sans problème le fait que j'étais bisexuel. J'ai, aussi, développé mon goût pour la mode, les antiquités et la noblesse. Je découvris chez moi une soif d'aventure et de découverte que je ne connaissais nullement. Mon seul regret fut de ne pas avoir demandé à Henry comment il faisait pour supporter la lumière du jour. Ce regret fut comblé quelques années plus tard quand j'ai rencontré ma première sorcière. En fait, c'est elle qui m'avait trouvé. Elle m'expliqua qu'elle étais avec les vampire et les autres créatures. Elle ensorcela mon bracelet, le seul souvenir de mon père, pour que je puisse aller sous les rayons du soleil. Quelque temps plus tard nous nous sommes quitté. Pendant les 30 années qui suivirent j'ai continué à traverser les plus belles places d'Europe, j'avais réussi à infiltré la bourgeoisie des plus grands pays d'Europe. Grace à cela je me rendis riche ce qui me permit de faire de très belles acquisitions dans plusieurs endroits en commençant par Paris, Londre et Milan. À la fin de ces 40ans, ma richesse était si grande que je possédais de luxueux domaines dans tous les pays d'Europe.

Puis, le 12 mars 1908, lors d'un bal donné à Paris, je fis la rencontre d'une magnifique jeune femme. Je ne sais pas pourquoi, mais je devais savoir qui elle était. Mon attirance pour cette femme me consumait, donc je l'abordai. J'appris, d'elle, très peu de choses. Elle se prénommait Catherine. J'appris, aussi, qu'elle était en France depuis quelques années et qu'avant elle avait passé de nombreuse années aux états-unis. À l'époque, je connaissais très peu de choses sur l'Amérique. Je voulus en apprendre plus sur sa vie en Amérique, mais elle se ferma à moi et je n'appris rien d'autre d'elle. Le reste de la soirée fut fort banale, je devais entretenir de bonnes relations avec mes connaissances. Pourtant, Catherin avait éveillé en moi une grande curiosité pour l'Amérique et pour elle. Toute la soirée je l'ai surveillé du regard et quand elle partis, je l'ai suivi sans qu'elle me voie. Je faisais attention à ne pas la suivre de trop près pour ne pas me faire repérer. Elle finit par s'engouffrer dans une petite ruelle sombre et quand j'arrivai pour voir, elle n'était plus là. J'ai tenté d'écouter tous les sons possibles, mais je n'arrivais pas à la repérer. Puis, j'entendis un cri fort et bref. J'accourus pour voir et tout ce que je vis était le cadavre d'une femme, je ne l'avais jamais vue. Elle avait une marque de morsure dans le cou et semblait avoir été vidé de son sang. À ce moment, j'étais rendu presque sûr que Catherine était un Vampire. J'ai laissé le corps là et je suis reparti chez moi.

Un mois plus tard, je pris la route pour les états-unis. La soif d'aventure et ma curiosité que j'avais pour cette contré si éloigné m'avaient poussé à partir. Il y avait aussi l'espoir de revoir Cathrine un jour. Je parcourus les grandes villes des états-unis. Je fis même un tour au Canada pendant les années 50. Maintenant que j'ai vu les plus grandes et les plus belles villes en Amérique du Nord, je me suis acheté un luxueux condominium dans l'Upper East Side à New York. C'est ma première acquisition ici, aux États-Unis, mais je ne m'y installerais pas tout de suite. Pour l'instant j'ai pris goût aux campagnes et aux petites villes. Je viens d'arriver dans une petite ville du nom de Mystic Fall. Étonnamment, j'ai envie d'y rester pour l'instant.